Ils ont sympathisé par e-mails et depuis, le plus célèbre des dissidents chinois utilise sa notoriété – et son art – pour attirer l’attention sur le sort de Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks désormais emprisonné à Londres. Bruno Lus a interrogé Ai Weiwei sur ce lien singulier, né sous le signe de l’exil et de la liberté d’expression.
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